Être une personne proche aidante, c’est devoir composer avec une multitude de pertes et de deuils: maison familiale, carrière, plan de retraite, activités sociales…
À cette liste peut s’ajouter le deuil blanc, soit le deuil de la personne telle que vous la connaissiez, celle avec qui vous échangiez et discutiez, que vous rêviez de voyages, partagiez des tâches… mais avec qui il est dorénavent plus difficile de communiquer en raison, notamment, de troubles neurocognitifs.
Et au bout de votre parcours d’aidant, il y aura inévitablement la perte d’une personne significative, laquelle se conjugue à celle de votre rôle d’aidant. Pour tous ces deuils, sachez qu’il nous importe de vous accompagner et de vous soutenir.